Courrier fin PEC questionnement
+2
Pirouette
Tweedle-Dum
6 participants
Page 1 sur 1
Courrier fin PEC questionnement
Me voilà à nouveau obligée de faire un courrier de fin de PEC.
Je dois dire que je le voyais venir depuis un certain temps. Il s'agit d'un enfant que je suis depuis la fin de la GS pour un gros RPL, et qui a bien progressé à ce niveau mais qui a beaucoup de mal à entrer dans la lecture du fait de grosses difficultés attentionnelles. Je voulais le prendre deux fois par semaine mais cela n'a pas été possible. Début juin 2018, la maman qui déjà n'était pas des plus assidues me laisse un message pour m'expliquer que sa mère est mourante, qu'elle reviendra en septembre. Elle m'a rappelée très tôt début septembre pour avoir une place donc j'ai repris l'enfant mais suite à deux absences dont une non excusée j'ai fait le décompte des séances effectuées en 2018 pour lui expliquer que c'était vraiment peu et que cela n'avait pas de sens, qu'il fallait vraiment que le suivi soit régulier et que si elle recommençait à annuler sans prévenir le créneau serait redonné à quelqu'un d'autre. Cette prise en charge me mettait également mal à l'aise car il me semblait de plus en plus que les difficultés de l'enfant étaient liées à une relation toxique à la mère qui n'a aucune patience et rentre d'ailleurs souvent dans mon bureau pour mettre fin aux séances car elle est en double file, et ce bien que j'aie fait une mise au point pour lui expliquer qu'il est important que ce soit moi qui mette fin aux séances. Elle n'est pas fondamentalement antipathique (dépassée avec une famille nombreuse, le père semble peu présent, CMU) mais j'ai l'impression que tout ce que je lui dis lui passe au-dessus de la tête. Qui plus est elle m'avait expliqué que sa fille aînée était sous ritaline, et l'an dernier j'apprends qu'elle est allée voir le même neuropédiatre en libéral que la sœur qui a mis aussi mon petit patient sous médicaments, ce qui me laisse assez perplexe car je suis persuadée qu'il n'y a rien de neurologique dans son cas et que les troubles sont liés à la mère (par exemple une fois je n'ai rien pu en tirer, j'ai appelé la mère pour qu'elle vienne le reprendre et je suis persuadée qu'elle l'avait frappé car elle l'avait menacé avant de me le laisser sur le mode "tu verras je recommencerai si ça se passe mal" -mais je n'ai aucune preuve). Néanmoins il m'est arrivé de la prendre en séance et si elle n'a aucune patience (elle veut toujours accélérer les moments de jeu pour le faire travailler) il lui arrive d'avoir des moments de connivence avec son fils, je pense qu'elle n'est pas fondamentalement mauvaise mais vraiment dépassée.
Bref avant les vacances de Noël elle me demande si je peux faire le bilan de sa fille, bilan sans PEC pour avoir des aménagements. Bon je n'aime pas trop ça mais j'accepte, et je décide de faire en même temps le bilan de renouvellement de son fils, qui arrive au bout des 50 séances le même jour. Comme elle n'est pas hyper fiable je lui propose l'après-midi mais elle insiste pour le matin car "le cerveau de son fils sera plus efficace avec les médicaments, tu en as besoin mon chéri n'est-ce pas?" Bêtement je me laisse faire. Je me dis aussi qu'en bloquant une matinée pour eux nous aurons ainsi du temps pour retenter une mise au point sur l'importance de ne pas interrompre les séances, ou de ne plus le déposer devant la maison car du coup depuis peu je le retrouve en train de rôder dans le cabinet au lieu d'attendre en salle d'attente, que je pourrai aussi parler de mon malaise par rapport au traitement médicamenteux.
Et évidemment le jour J lapin, et silence radio. Bon du coup j'ai bien rattrapé mon retard de CR, mais j'étais quand même verte. La semaine de la rentrée je me décide à appeler, je tombe sur son répondeur, j'explique que je mets fin au suivi tout en espérant qu'il n'est rien arrivé de grave. Toujours silence radio. Et je me dis qu'il faut que je fasse un courrier, et que j'expose comment a pris fin le suivi, mais j'ai du mal à décider de ce qu'il faut dire : dois-je dire pourquoi le suivi médicamenteux me mettait mal à l'aise (après tout un médecin a pris cette décision), dois-je parler de cette relation toxique ?
Merci d'avance pour vos conseils.
Bon en même temps je dois dire que c'est aussi un soulagement car c'est un suivi qui m'épuisait sans grand résultat et était voué à l'échec dans ces conditions, et qui depuis assez longtemps me mettait mal à l'aise.
Je dois dire que je le voyais venir depuis un certain temps. Il s'agit d'un enfant que je suis depuis la fin de la GS pour un gros RPL, et qui a bien progressé à ce niveau mais qui a beaucoup de mal à entrer dans la lecture du fait de grosses difficultés attentionnelles. Je voulais le prendre deux fois par semaine mais cela n'a pas été possible. Début juin 2018, la maman qui déjà n'était pas des plus assidues me laisse un message pour m'expliquer que sa mère est mourante, qu'elle reviendra en septembre. Elle m'a rappelée très tôt début septembre pour avoir une place donc j'ai repris l'enfant mais suite à deux absences dont une non excusée j'ai fait le décompte des séances effectuées en 2018 pour lui expliquer que c'était vraiment peu et que cela n'avait pas de sens, qu'il fallait vraiment que le suivi soit régulier et que si elle recommençait à annuler sans prévenir le créneau serait redonné à quelqu'un d'autre. Cette prise en charge me mettait également mal à l'aise car il me semblait de plus en plus que les difficultés de l'enfant étaient liées à une relation toxique à la mère qui n'a aucune patience et rentre d'ailleurs souvent dans mon bureau pour mettre fin aux séances car elle est en double file, et ce bien que j'aie fait une mise au point pour lui expliquer qu'il est important que ce soit moi qui mette fin aux séances. Elle n'est pas fondamentalement antipathique (dépassée avec une famille nombreuse, le père semble peu présent, CMU) mais j'ai l'impression que tout ce que je lui dis lui passe au-dessus de la tête. Qui plus est elle m'avait expliqué que sa fille aînée était sous ritaline, et l'an dernier j'apprends qu'elle est allée voir le même neuropédiatre en libéral que la sœur qui a mis aussi mon petit patient sous médicaments, ce qui me laisse assez perplexe car je suis persuadée qu'il n'y a rien de neurologique dans son cas et que les troubles sont liés à la mère (par exemple une fois je n'ai rien pu en tirer, j'ai appelé la mère pour qu'elle vienne le reprendre et je suis persuadée qu'elle l'avait frappé car elle l'avait menacé avant de me le laisser sur le mode "tu verras je recommencerai si ça se passe mal" -mais je n'ai aucune preuve). Néanmoins il m'est arrivé de la prendre en séance et si elle n'a aucune patience (elle veut toujours accélérer les moments de jeu pour le faire travailler) il lui arrive d'avoir des moments de connivence avec son fils, je pense qu'elle n'est pas fondamentalement mauvaise mais vraiment dépassée.
Bref avant les vacances de Noël elle me demande si je peux faire le bilan de sa fille, bilan sans PEC pour avoir des aménagements. Bon je n'aime pas trop ça mais j'accepte, et je décide de faire en même temps le bilan de renouvellement de son fils, qui arrive au bout des 50 séances le même jour. Comme elle n'est pas hyper fiable je lui propose l'après-midi mais elle insiste pour le matin car "le cerveau de son fils sera plus efficace avec les médicaments, tu en as besoin mon chéri n'est-ce pas?" Bêtement je me laisse faire. Je me dis aussi qu'en bloquant une matinée pour eux nous aurons ainsi du temps pour retenter une mise au point sur l'importance de ne pas interrompre les séances, ou de ne plus le déposer devant la maison car du coup depuis peu je le retrouve en train de rôder dans le cabinet au lieu d'attendre en salle d'attente, que je pourrai aussi parler de mon malaise par rapport au traitement médicamenteux.
Et évidemment le jour J lapin, et silence radio. Bon du coup j'ai bien rattrapé mon retard de CR, mais j'étais quand même verte. La semaine de la rentrée je me décide à appeler, je tombe sur son répondeur, j'explique que je mets fin au suivi tout en espérant qu'il n'est rien arrivé de grave. Toujours silence radio. Et je me dis qu'il faut que je fasse un courrier, et que j'expose comment a pris fin le suivi, mais j'ai du mal à décider de ce qu'il faut dire : dois-je dire pourquoi le suivi médicamenteux me mettait mal à l'aise (après tout un médecin a pris cette décision), dois-je parler de cette relation toxique ?
Merci d'avance pour vos conseils.
Bon en même temps je dois dire que c'est aussi un soulagement car c'est un suivi qui m'épuisait sans grand résultat et était voué à l'échec dans ces conditions, et qui depuis assez longtemps me mettait mal à l'aise.
Dernière édition par Tweedle-Dum le Dim 13 Jan 2019 - 18:57, édité 2 fois (Raison : orthographe...)
Tweedle-Dum- Messages : 1679
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Courrier fin PEC questionnement
Tu stoppes la pec parce qu’il n’y a pas d’investissement, pour moi le courrier au médecin traitant ne doit mentionner que ça.
Pour la ritaline le MT doit être au courant (il a quand même dû avoir 1 courrier du neuro)
Je ne perds plus mon temps pour ce type de famille : courrier bref au MT et archivage du dossier.
Pour la ritaline le MT doit être au courant (il a quand même dû avoir 1 courrier du neuro)
Je ne perds plus mon temps pour ce type de famille : courrier bref au MT et archivage du dossier.
Pirouette- Messages : 2943
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Courrier fin PEC questionnement
OK, merci de ton avis.
Tweedle-Dum- Messages : 1679
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Courrier fin PEC questionnement
Bonsoir Tweedle-Dum,
Et pourquoi ne pas téléphoner au MG ? A Situation complexe, solution simple ;-) Cela te permettra de signifier plus facilement la fin de PeC. Suivant l’accueil, tu sentiras comment exposer plus longuement ce qui te preoccupe, le cas échéant.
Une situation qui t’a mise autant à mal, qui a été ernergivore et chronophage, mériterait d’être étudiée en supervision professionnelle. Participes-tu à ce genre de groupe ? Ce serait intéressant de comprendre pourquoi tu as accepté de proposer un bilan pour aménagements pédagogiques à cette jeune fille alors que tu es opposée de le faire en temps habituel, pourquoi tu as accepté la sœur de ton jeune patient, pourquoi tu t’es montrée si soucieuse (est-ce que rien de grave n’est arrivé ? Il rôde... au lieu de... ).
Et pourquoi ne pas téléphoner au MG ? A Situation complexe, solution simple ;-) Cela te permettra de signifier plus facilement la fin de PeC. Suivant l’accueil, tu sentiras comment exposer plus longuement ce qui te preoccupe, le cas échéant.
Une situation qui t’a mise autant à mal, qui a été ernergivore et chronophage, mériterait d’être étudiée en supervision professionnelle. Participes-tu à ce genre de groupe ? Ce serait intéressant de comprendre pourquoi tu as accepté de proposer un bilan pour aménagements pédagogiques à cette jeune fille alors que tu es opposée de le faire en temps habituel, pourquoi tu as accepté la sœur de ton jeune patient, pourquoi tu t’es montrée si soucieuse (est-ce que rien de grave n’est arrivé ? Il rôde... au lieu de... ).
Patati patata- Messages : 2618
Date d'inscription : 03/03/2012
Re: Courrier fin PEC questionnement
Plus ça va (je préfère dire comme ça que "avec l'âge") moins je m'en fais. Peu d'investissement, absences nombreuses, oubli d'excuses etc => on arrête, même si je n'ai pas de liste d'attente...
Pour le médecin ça dépend des relations que tu as avec lui, mais en général un mot exposant les raisons (avec comme toujours une proposition de développer si nécessaire ou désiré) et c'est tout.
Pour le médecin ça dépend des relations que tu as avec lui, mais en général un mot exposant les raisons (avec comme toujours une proposition de développer si nécessaire ou désiré) et c'est tout.
laurent Gretcha- Messages : 15602
Date d'inscription : 12/01/2010
Age : 67
Localisation : Granville (50)
Re: Courrier fin PEC questionnement
Je ne connais pas le médecin traitant. Ce serait un médecin de ma ville, que je connais j'oserais plus mais là effectivement ce qui me gêne c'est de mettre en cause le diagnostic de la neuropédiatre.
Je pense que ce qui me dérange aussi c'est que j'ai l'impression qu'on est aux frontières de la maltraitance (donner un traitement à un enfant qui n'en a pas besoin mais a besoin d'un cadre, de repères et de fermeté avant tout -même le fait de ne pas le laisser avoir un temps dédié avec moi). Qui plus est je trouve que c'est un enfant qui se met en danger, qui dès qu'on a une seconde le dos tourné parvient à commettre une bêtise (une fois d'ailleurs elle a annulé pour une bonne raison il s'était blessé assez gravement dans la cour de l'école et elle était aux urgences, et la dernière fois que je l'ai trouvé rôdant dans le cabinet il tournait autour de la broyeuse à papier que le médecin laisse derrière le comptoir). Donc oui je me demande aussi s'il n'a pas pu lui arriver quelque chose de grave.
Concernant la sœur je pense que j'ai accepté pour plusieurs raisons : la mère y tenait et j'en ai profité pour montrer que je lui faisais une fleur, espérant qu'elle serait du coup plus assidue et m'écouterait plus (et parfois ça marche, quand tu es obligeant je trouve que ça renforce la relation). Par curiosité : la sœur est sous traitement mais en salle d'attente elle est très calme quand elle accompagne son frère, j'avais envie de voir comment elle se comporterait, si elle avait réellement un retard (pour comparer avec son frère). Enfin raison moins avouable mais désormais je rédige ce type de bilans d'autant plus vite (surtout que j'utilise pour le LO l'EVALEO qui me donne directement le score et la zone où se situe l'enfant) et je me disais que cela contribuerait à renflouer mes caisses à la fin des vacances de Noël qui sont les vacances les plus désertées. J'ajoute qu'elle a rappelé juste avant les vacances pour confirmer le RV et dire qu'elle serait bien là tel jour à tel heure, que je pouvais lui faire confiance. Sinon je ne participe pas à des supervisions, c'est bien pour cela que je poste ici ; ça me donne quand même des pistes.
Je vais réfléchir mais a priori je pense m'en tenir à un simple courrier exposant pourquoi la PEC a pris fin.
Je pense que ce qui me dérange aussi c'est que j'ai l'impression qu'on est aux frontières de la maltraitance (donner un traitement à un enfant qui n'en a pas besoin mais a besoin d'un cadre, de repères et de fermeté avant tout -même le fait de ne pas le laisser avoir un temps dédié avec moi). Qui plus est je trouve que c'est un enfant qui se met en danger, qui dès qu'on a une seconde le dos tourné parvient à commettre une bêtise (une fois d'ailleurs elle a annulé pour une bonne raison il s'était blessé assez gravement dans la cour de l'école et elle était aux urgences, et la dernière fois que je l'ai trouvé rôdant dans le cabinet il tournait autour de la broyeuse à papier que le médecin laisse derrière le comptoir). Donc oui je me demande aussi s'il n'a pas pu lui arriver quelque chose de grave.
Concernant la sœur je pense que j'ai accepté pour plusieurs raisons : la mère y tenait et j'en ai profité pour montrer que je lui faisais une fleur, espérant qu'elle serait du coup plus assidue et m'écouterait plus (et parfois ça marche, quand tu es obligeant je trouve que ça renforce la relation). Par curiosité : la sœur est sous traitement mais en salle d'attente elle est très calme quand elle accompagne son frère, j'avais envie de voir comment elle se comporterait, si elle avait réellement un retard (pour comparer avec son frère). Enfin raison moins avouable mais désormais je rédige ce type de bilans d'autant plus vite (surtout que j'utilise pour le LO l'EVALEO qui me donne directement le score et la zone où se situe l'enfant) et je me disais que cela contribuerait à renflouer mes caisses à la fin des vacances de Noël qui sont les vacances les plus désertées. J'ajoute qu'elle a rappelé juste avant les vacances pour confirmer le RV et dire qu'elle serait bien là tel jour à tel heure, que je pouvais lui faire confiance. Sinon je ne participe pas à des supervisions, c'est bien pour cela que je poste ici ; ça me donne quand même des pistes.
Je vais réfléchir mais a priori je pense m'en tenir à un simple courrier exposant pourquoi la PEC a pris fin.
Tweedle-Dum- Messages : 1679
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Courrier fin PEC questionnement
Et sinon vous avez déjà vu des enfants mis sous médicaments par un neuropédiatre en libéral sans décision pluridisciplinaire? J'avais déjà des enfants sous ritaline mais la décision avait été prise au centre référent et pas dès la première consultation, et suite à différents bilans. Je trouve assez choquant qu'un médecin puisse prendre cette décision après une simple consultation.
Tweedle-Dum- Messages : 1679
Date d'inscription : 10/09/2011
Re: Courrier fin PEC questionnement
Oui, suite à un pseudo-consortium pluridisciplinaire (notamment le questionnaire de Conners).
Patati patata- Messages : 2618
Date d'inscription : 03/03/2012
Re: Courrier fin PEC questionnement
Tweedle-Dum a écrit:Et sinon vous avez déjà vu des enfants mis sous médicaments par un neuropédiatre en libéral sans décision pluridisciplinaire? J'avais déjà des enfants sous ritaline mais la décision avait été prise au centre référent et pas dès la première consultation, et suite à différents bilans. Je trouve assez choquant qu'un médecin puisse prendre cette décision après une simple consultation.
Oui dans mon coin nous avions LA spécialiste de l'ordonnance de ritaline au bout de 10 mn de consultation !
Pirouette- Messages : 2943
Date d'inscription : 10/03/2010
Re: Courrier fin PEC questionnement
au CMP, les traitements ne sont donnés qu'après des examens médicaux pour éviter des non contre-indications. ça n'est pas anodin, les médicaments
Rozan- Messages : 933
Date d'inscription : 08/09/2015
Age : 43
Localisation : Normandie
Re: Courrier fin PEC questionnement
sais-tu quels examens?
Léonille- Messages : 768
Date d'inscription : 26/05/2011
Re: Courrier fin PEC questionnement
bilan sanguin et ECG je crois
Rozan- Messages : 933
Date d'inscription : 08/09/2015
Age : 43
Localisation : Normandie
Re: Courrier fin PEC questionnement
Finalement j'ai croisé l'enfant et sa mère dans une galerie marchande. La mère, le portable vissé à l'oreille, a répondu à mon bonjour en continuant à marcher comme si de rien n'était.
Bref, je me suis inquiétée pour rien. Pauvre môme, mais je n'y peux rien.
Point positif : désormais je suis beaucoup moins fatiguée le jeudi alors que j'ai deux patients désormais en fin de journée au lieu d'un, et eux vraiment pathos mais adorables au point de vue comportement.
Bref, je me suis inquiétée pour rien. Pauvre môme, mais je n'y peux rien.
Point positif : désormais je suis beaucoup moins fatiguée le jeudi alors que j'ai deux patients désormais en fin de journée au lieu d'un, et eux vraiment pathos mais adorables au point de vue comportement.
Tweedle-Dum- Messages : 1679
Date d'inscription : 10/09/2011
Sujets similaires
» Courrier de fin de prise en charge?
» courrier orthoptiste
» Courrier au médecin
» courrier de fin de rééducation
» Courrier de l'école obligatoire
» courrier orthoptiste
» Courrier au médecin
» courrier de fin de rééducation
» Courrier de l'école obligatoire
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|